Du néant de la vie
Arthur Schopenhauer
Auguste Dietrich
Didier Raymond
Confronté au néant de la vie qui mène inéluctablement à la mort, Arthur Schopenhauer s'interroge sur ce primat de la Volonté, ce régime d'instincts, de pulsions et de désirs aveugles, qui nous pousse, malgré tout, à vouloir vivre.